LUNIAL
Sylvie Durouvenoz Rosset, dite Lunial, ou DUD et parfois Syl’DUD est une carougeoise pure souche.
Elle a usé les bancs de l’école Jacques Dalphin, puis ceux du CO de Pinchat et enfin ceux des arts décoratifs de Genève. Diplôme d’architecte d’intérieur décroché, elle participe à plusieurs études d’architecture sans jamais perdre de vue ses projets artistiques. Puis famille en poche elle reprend son indépendance et se plonge avec délice dans le dessin, l’aquarelle et la peinture acrylique.
Ses influences sont multiples de Magritte à Franquin, de Dali à Tex Avery, ou encore le génial Moebius, l’hilarant Gotlib, le sombre Mohlitz. Il y a tant d’artistes géniaux qu’il est impossible d’en faire la liste, mais indéniablement la bande dessinée et les dessins animés sont de très sérieuses sources d’inspiration.
Artiste discrète du bouche à oreille quelques-unes de ses œuvre se retrouvent néanmoins aux quatre coins du monde, Australie, USA, Italie, France et dans quelques foyers carougeois lorsque ses idées farfelues envoient la petite cité sarde dans les airs ou encore lorsque ses rues se transforment en sous-sols vertigineux et parfois même en canaux vénitiens. Puis c’est à Genève de se retrouver noyée ou envoyée dans les airs et bientôt quelques châteaux suisses rejoignent la joyeuse bande et voyagent à leur tour dans les nuages.
Les dessins et peintures d’animaux ayant toujours fait partie de ses réalisations elle met en scène tout un petit monde de travailleurs en salopette bleue qui s’appliquent à aider quelques animaux qu’elle prend un indéniable plaisir à mettre dans des situations insolites.
Le temps consacré à chaque création est impossible à mesurer, comment calculer des idées qui semblent parfois surgir de nulle part ou qui au contraire mûrissent avec une lenteur exaspérante avant d’apparaître au bout d’un crayon ? S’ensuit la réalisation qui peut prendre quelques jours ou quelques semaines lorsque l’acrylique joue les mauvaises filles au séchage hasardeux ou lorsque l’aquarelle se fait indisciplinée. Une fois terminées, ses œuvres sont perçues comme des histoires et les personnes qui les regardent s’amusent à s’imaginer dans ces mondes fantaisistes, tantôt voguant dans les ruelles tantôt inquiètes d’une chute du haut de ces îles volantes.
Désormais et sans abandonner le dessin et la peinture, elle se lance dans les dessins numériques, des idées plein la tête.
© La Ligne
35 rue St Victor, 1227 Carouge
Tel. +41 76 693 70 65
laligne.bd@gmail.com
Elle a usé les bancs de l’école Jacques Dalphin, puis ceux du CO de Pinchat et enfin ceux des arts décoratifs de Genève. Diplôme d’architecte d’intérieur décroché, elle participe à plusieurs études d’architecture sans jamais perdre de vue ses projets artistiques. Puis famille en poche elle reprend son indépendance et se plonge avec délice dans le dessin, l’aquarelle et la peinture acrylique.
Ses influences sont multiples de Magritte à Franquin, de Dali à Tex Avery, ou encore le génial Moebius, l’hilarant Gotlib, le sombre Mohlitz. Il y a tant d’artistes géniaux qu’il est impossible d’en faire la liste, mais indéniablement la bande dessinée et les dessins animés sont de très sérieuses sources d’inspiration.
Artiste discrète du bouche à oreille quelques-unes de ses œuvre se retrouvent néanmoins aux quatre coins du monde, Australie, USA, Italie, France et dans quelques foyers carougeois lorsque ses idées farfelues envoient la petite cité sarde dans les airs ou encore lorsque ses rues se transforment en sous-sols vertigineux et parfois même en canaux vénitiens. Puis c’est à Genève de se retrouver noyée ou envoyée dans les airs et bientôt quelques châteaux suisses rejoignent la joyeuse bande et voyagent à leur tour dans les nuages.
Les dessins et peintures d’animaux ayant toujours fait partie de ses réalisations elle met en scène tout un petit monde de travailleurs en salopette bleue qui s’appliquent à aider quelques animaux qu’elle prend un indéniable plaisir à mettre dans des situations insolites.
Le temps consacré à chaque création est impossible à mesurer, comment calculer des idées qui semblent parfois surgir de nulle part ou qui au contraire mûrissent avec une lenteur exaspérante avant d’apparaître au bout d’un crayon ? S’ensuit la réalisation qui peut prendre quelques jours ou quelques semaines lorsque l’acrylique joue les mauvaises filles au séchage hasardeux ou lorsque l’aquarelle se fait indisciplinée. Une fois terminées, ses œuvres sont perçues comme des histoires et les personnes qui les regardent s’amusent à s’imaginer dans ces mondes fantaisistes, tantôt voguant dans les ruelles tantôt inquiètes d’une chute du haut de ces îles volantes.
Désormais et sans abandonner le dessin et la peinture, elle se lance dans les dessins numériques, des idées plein la tête.
© La Ligne
35 rue St Victor, 1227 Carouge
Tel. +41 76 693 70 65
laligne.bd@gmail.com